Ah donc la taxe kilométrique sur les EV qui avait été mise en place dans une des régions de l’Australie, et qui faisait plus ou moins exemple de ce qui risquait de tomber un peu partout à terme, a déjà été abandonnée depuis longtemps.

Cet abandon n’a évidemment pas fait autant de remous que la mise en place de cette taxe, à l’époque.

Ça n’empêche pas non plus qu’un taxe quelconque revienne au goût du jour à un moment donné, y compris en France.

La principale raison est le manque à gagner pour ne plus acheter d’essence, ultra-taxé.

Attention aux timbres que vous achetez à la Poste.

Les timbres n’ont pas de valeur faciale.
Un timbre vert acheté en 1995 suffira toujours aujourd’hui pour envoyer une lettre verte, même si à l’époque elle valait 0,35 €, et maintenant c’est 1,29 €.

Sauf que la plupart des « timbres » sont des vignettes, avec une valeur faciale.
Et là, 1,29 € restera toujours 1,29 €. Un tel « timbre » suffira aujourd’hui pour envoyer une lettre, mais pas demain si le prix augmente.

Si vous avez des lampes torches avec des petites ampoules dedans (ampoules 3 V, typiquement), sachez qu’il existe des ampoules au même format mais LED.

C’est *beaucoup* plus lumineux et beaucoup moins énergivore.

Attention par contre : ces lampes LED sont polarisées. Certains ont le + sur le culot et le − sur le plot, et d’autres c’est l’inverse.

Des nouvelles du « le nukléaire zera remplazé par des zéoliennes ».

J’aurais bien aimé voir quel OS complètement nu est le plus bavard aussi.

Les applications, pas tout le monde les installe. Perso, tout ce qui est réseaux sociaux, enfin les peu que j’utilise encore, sont dans le navigateur.

Hormis les app de base d’Apple (qui se désinstallent très bien, au passage, heureusement car elles sont nombreuses), j’ai seulement 17 applis (ce que je trouve déjà beaucoup). Le reste c’est du stock (musique, cartes, boussole, calculatrice, photos, traduction, agenda…).

À un moment, pour les smartphones, c’était la guerre entre les chargeurs USB-C et les chargeurs Lightning d’Apple. Imaginez qu’Apple ait eu gain de cause, et que peu à peu, toutes les marques de téléphones (Samsung, LG, Sony, Xiaomi…) annoncent qu’ils passent sur du Lightning.

… et qu’une fois que tout le monde ait switché, Apple déclare « Ah au fait ? Lightning c’est fini, nous, on arrête. ».

Et bien dans le monde des voitures électriques, et plus précisément dans les ports de charge et des chargeurs, c’est un peu ce qui se passe depuis ce matin..

En tout cas en Amérique du Nord.

Là-bas, le standard Tesla (NACS) étant en compétition avec le CCS1 utilisé par toutes les autres marques. Depuis quelques mois, les marques ont presque toutes annoncées qu’elles passeraient sur le NACS : le chargeur et le port Tesla avait alors gagné de fait.

Et là aujourd’hui, Tesla annonce qu’il vire toute l’équipe derrière les chargeurs (soit environ 500 ingénieurs). Cela va des postes de chargeurs, à la prise de recharge de la voiture.

C’est très con : les chargeurs Tesla ont une architecture assez spécifique, notamment en matière de partage de charge entre les places de chargement. Les stalles que l’on voit ne sont que des prises, et toute l’architecture électrique se passe dans les armoires électriques qui ne sont jamais bien loin. Leur techno est très en avance sur ce plan là.

M’enfin.
Toutes les marques qui avaient déclaré passer au NACS, se remettent en question.

Quid de l’Europe ? Ici aucun soucis : en Europe, c’est Tesla qui a dû s’adapter au standard européen, le CCS2.
Donc même si Tesla fermait tous les superchargeurs, les propriétaires pourraient toujours charger sur tous les autres réseaux (Ionity, Elektra, etc.). Ce n’est donc pas un problème.

Pour une fois, l’UE a pris une décision de standardition assez rapide (dès 2014), et c’est une bonne chose. Le standard CCS2 a été mis au point de façon conjointe par plusieurs constructeurs (BMW, VW, Porsche, mais aussi Ford et GM, notamment), et aujourd’hui c’est le standard utilisé en Europe par tous les constructeurs. Seuls quelques véhicules un peu anciens peuvent encore avoir besoin de prises CHAdeMO ou Type-3 (encore plus rare).

En bref, ici, ce n’est pas le résultat d’un projet d’un constructeur dans son coin comme le NACS aux USA, et qui peut tomber d’une heure à l’autre parce que son PDG en a décidé d’un seul coup.

Une carte pour mémoriser le code morse, sous la forme d’un arbre.

Joli, une lib CSS qui reprend le design de W7 !

(qui reste pour moi le plus joli des Windows, sauf peut-être XP Media Center Edition et en gris).

Mais pourquoi je me suis abonné à cette newsletter ;-;

C’est un moteur à vide : de l’air chaud produit à l’extérieur est aspiré dans le cylindre, ce dernier est ensuite bouché, l’air refroidit, se contracte, et aspire le cylindre. Ensuite le cylindre se débouche, l’air chaud est de nouveau aspiré et ainsi de suite.

Voilà ce qui arrive quand on choisit d’ignorer un concurrent et que 10 ans après, ce dernier domine le marché.

C’est beau d’avoir l’avion, le train ou la fusée la plus jolie, puissante, solide du monde. Mais tout ça sera totalement inutile quand quelqu’un inventera un téléporteur de salon.

Je savais pas que ce sujet faisait autant Paul & Mickey.

Je sais par contre que j’ai tendance à parler d’une « connexion internet », sans le « à », tout en parlant « de l’internet » mais en disant « […] trouvé sur internet », bien que je rends compte que dire « trouvé en ligne » est plus joli, et calqué sur l’anglais.
Par contre la majuscule, je n’ai pas réellement de règle.

Tout comme je dirais une « connexion téléphonique », mais « le téléphone » (ou « le réseau téléphonique »). Tout dépend donc de la place qu’il occupe dans la phrase, je suppose. Cet usage personnel a également évolué avec le temps : avant je disais « internet » pour tout, mais je trouve que dire « de l’internet » est plus joli que « d’internet », un peu comme je préfère écrire « que l’on » au lieu de « qu’on ».

Enfin « The Internet », ne devrait à mon avis qu’être réservé à la petite boîte noire, sans fil, munie d’une LED rouge clignotante et localisée sur Big Ben pour une question de réceptivité. Ça c’est « The Internet » avec deux majuscules.

Le riz doré est un riz OGM qui produit en plus de la vitamine A. Sans vitamine A, on perd (entre autres) peu à peu la vue.

Ce riz a été mis au point pour donner ce qu’il faut en vitamine A au habitant, les enfants essentiellement, des pays d’Asie du sud et du sud-est.

Exactement comme on ajoute du fluor ou de l’Iode dans notre sel de table.

Ces additifs ou OGM sauvent des vies.

Et bien Greenpeace vient d’interdire le riz doré aux Philippines, un des pays où il est le plus utilisé (et utile).

First, a word of warning. If you donate money to Greenpeace, you might think you’re helping save the whales or the rainforests. But in reality, you may be complicit in a crime against humanity.

« si vous donnez de l’argent à Greenpeace, vous pensez sauver les baleines et la forêt tropicale, mais en réalité vous êtes possiblement complice de crime contre l’humanité. »

Cette phrase résume assez bien l’action de Greenpeace. Dans cet exemple précis, ou dans d’autres. Tout ça par idéologie anti-OGM, car rien, RIEN, de scientifique ne montre que le riz doré pose quelque problème que ce soit pour la santé, et quelque problème particulier spécifique pour, disons, la biodiversité.

Quant aux OGM, je vous invite à lire cet article :
- https://www.matronix.fr/les-ogm-ca-a-bon-gout/

Et à écouter ces deux Podcast (en anglais) de Startalk sur les OGM (presenté par Bill Nye) :
- https://startalkmedia.com/show/cosmic-queries-gmos-with-bill-nye-part-1/
- https://startalkmedia.com/show/cosmic-queries-gmos-with-bill-nye-part-2/

Though still in its infancy, EV recycling is already profitable and capable of recovering more than 95% of the key minerals. A new analysis by Stanford University researchers, which is still under peer review, found that Redwood Materials’ recycling process produces up to 80% fewer emissions than the traditional supply chain using CO2 belching refineries. That’s enough to shorten an average EV’s environmental breakeven time with an internal combustion vehicle to less than 15,000 miles.

L’étude doit être confirmée, mais dans tous les cas ce n’est vraiment pas une surprise : avec le recyclage des batteries qui progresse, le kilométrage à partir duquel une EV devient moins émettrice qu’une voiture thermique pourrait descendre aussi bas que 15 000 miles (24 000 km).
Ça c’est aux USA. En France, on devrait être nettement en dessous grâce à un mix électrique avantageux sur ce plan (à la fois pour les recharges que pour l’industrie du recyclage ; même si je ne sais pas où en est la France sur ce plan).

Rappel qu’il y’a toujours un moyen pour résoudre un problème, certains sont juste un peu plus cachés que d’autres.

Et généralement, il faut tout essayer, tout tenter. Car parfois ça marche !
Et un bug (ou une solution) peut venir de n’importe quoi, il faut juste investiguer et ne rien exclure sans avoir testé.

Ça alors, taxer les livres de 3 € au profit de LaPeste, ça dissuade d’acheter des livres ! Qui l’eut cru ?