La numérotation des logiciels : Concours d’appendice génital ou référence incontournable ? – Le Weblog de Frederic Bezies
Y a du vrai là dedans.
Je sais que pour Blogotext, je suis passé d’une numérotation ordinale (1, 2, 3…) à une version style 2.0.3, puis 2.0.4, etc.). La raison est que c’était un simple side-project au début et qu’il a pris plus d’importance après. Au début c’était simplement pour permettre à tout le monde de noter rapidement la version.
Surtout qu’en faisant des versions ordinales, c’était uniquement ça. Il n’y avait pas de release intermédiaire.
Je suis ensuite passé à des versions plus classiques et maintenant je suis sur la méthode du « breaking.feature.fix[-built] » que j’utilise désormais : https://pbs.twimg.com/media/CXAuwRqWYAEZXmx.png
Sachant que le built/nighty n’est pas là pour les versions officielles (juste pour les versions intermédiaires, de test et de travail).
Autrement, je trouve également pratique (et originale) le versionnage d’Ubuntu : YY.MM. On repère rapidement la date de sortie et donc son obsolescence sans forcément avoir à rechercher la version actuelle (après leur nom d’animaux après, ça va poser problème quand on arrivera à Z, mais bon).
Après, concernant l’article, tout est une question de s’y retrouver, et ça, ce n’est visiblement pas toujours le cas (ce qui est comble)…
Je sais que pour Blogotext, je suis passé d’une numérotation ordinale (1, 2, 3…) à une version style 2.0.3, puis 2.0.4, etc.). La raison est que c’était un simple side-project au début et qu’il a pris plus d’importance après. Au début c’était simplement pour permettre à tout le monde de noter rapidement la version.
Surtout qu’en faisant des versions ordinales, c’était uniquement ça. Il n’y avait pas de release intermédiaire.
Je suis ensuite passé à des versions plus classiques et maintenant je suis sur la méthode du « breaking.feature.fix[-built] » que j’utilise désormais : https://pbs.twimg.com/media/CXAuwRqWYAEZXmx.png
Sachant que le built/nighty n’est pas là pour les versions officielles (juste pour les versions intermédiaires, de test et de travail).
Autrement, je trouve également pratique (et originale) le versionnage d’Ubuntu : YY.MM. On repère rapidement la date de sortie et donc son obsolescence sans forcément avoir à rechercher la version actuelle (après leur nom d’animaux après, ça va poser problème quand on arrivera à Z, mais bon).
Après, concernant l’article, tout est une question de s’y retrouver, et ça, ce n’est visiblement pas toujours le cas (ce qui est comble)…