Votre sosie vous ressemble bien au-delà de l’apparence - GuruMeditation

C’est intéressant. Perso j’ai jamais compris comment on pouvait avoir des sosies alors que l’ADN est différente pour tout le monde et qu’il soit statistiquement (presque) impossible pour deux personnes d’avoir les mêmes (hormis des jumeaux ou triplés, etc.).

C’est sans compter qu’il ne suffit que d’un certain nombre de gènes spécifiques pour définir la forme du visage, et que là, le nombre de collisions est nettement plus courant.

La science aux limites de l‘éthique, Zuckerberg et Musk en prennent pour leur grade

Je ne comprends pas : avec CRISP par exemple, on a la possibilité de modifier le génome pour se prémunir d’infections comme le Sida ou autres. Pourquoi ça serait non-éthique ?

CRISP utilise un principe qui existe dans la nature : ça part du mécanisme qu’on certains micro-organismes d’intégrer dans leur propre génome des éléments du génome d’un virus pour en garder une trace et pouvoir le reconnaitre, et donc le combattre et s’immuniser. Un peu comme si je me faisais tatouer l’image d’un loup ou d’un ours sur le bras, en vue d’une expédition dans la nature.

Qu’il y ait des possibilités « non-éthiques » à ça, c’est indéniable : les Nazi auraient rêvé d’un tel outil pour concevoir à coup sûr des individus qui répondraient aux standards aryens.

Mais quand il s’agit de se prémunir comme des infections mortelles, pourquoi pas ?

C’est pas comme si d’autres outils de la vie de tous les jours pouvaient avoir un double emploi, l’un bien, l’autre mal :
– un couteau
– un briquet
– un bidon d’essence
– une cagoule
– …

On n’interdit pas la cagoule parce que 0,01 % des possesseurs de cagoules sont des voleurs (quoi que, avec leur interdiction de se couvrir en public, cet exemple n’est pas bon, mais vous m’avez compris…).

Je ne sais pas vous, mais si on mes parents avaient eu la possiblité et le choix de retirer ma vulnérabilité au VIH, à la grippe et à d’autres virus mais ne l’auraient pas fait… J’aurais, je pense, vécu toute ma vie en me demandant « Pourquoi ?! ».

Est-ce qu’il est pire de retirer la vulnérabilité à un virus avant même ma naissance, ou de me laisser courir le risque de mourir de ce même virus ?
Mon avis est que la question est vite répondue.

Pour résumer, comme pour 99 % des cas, ce n’est pas la technologie qu’il faut interdire, mais les mauvais usages, et surtout se prémunir contre le risque de mauvais usages. Mais l’autorisation d’un usage raisonné c’est souvent plus difficile qu’une interdiction pure et simple (et surtout, c’est subjectif).

La Voie lactée serait remplie de civilisations disparues

On parle ici de civilisations, pas de formes de vie.

Si l’espèce humaine s’autodétruit, ou plutôt quand elle fera ça, il y a fort à parier que beaucoup d’espèces qui vont continuer à vivre normalement. Jusqu’à l’émergence d’une nouvelle espèce "dominante", "intelligente", etc. et ainsi de suite.
Les requins, les crocodiles, ça fait des centaines de millions d’années qu’ils sont là. Les éponges et les méduses aussi, entre 600 et 800 millions d’années d’existence. Pour comparer, l’espèce Homo Sapiens n’est là que depuis 0,25 millions d’années.

Il y a fort à parier que s’il y ait eu effectivement beaucoup de civilisations désormais mortes, il subsiste encore beaucoup de formes de vie.

Il faut beaucoup plus qu’un simple réchauffement climatique pour éteindre toute forme de vie sur Terre. Il faudrait par exemple que notre étoile explose ou meurt. Et encore.

Aussi, dans l’univers, les étoiles comme la nôtre sont de grande taille par rapport à la vaste majorité des étoiles. Plus grandes, elles fusionnent davantage d’hydrogène, et meurent donc aussi plus rapidement. Le Soleil a une durée de vie de 10 Ga (gigaannées) en gros, et dans sa séquence principale.

Mais les étoiles les plus courantes, les naines rouges (qui représentent 80 % de toutes les étoiles) sont petites et lentes à fusionner leur hydrogène : leur durée de vie est de l’ordre de 100 à 1000 milliards d’années.
Cette stabilité est non négligeable pour développer une forme de vie à partir du hasard des molécules (comme on pense que ça s’est fait sur Terre).

Les étoiles géantes ont une durée de vide de ~10 millions d’années environ ; et je dis bien millions, pas milliards. Il n’y a aucune chance qu’une telle étoile produise la vie. Rien que sur Terre, la vie a eu besoin de 3 milliards d’années pour passer d’une proto-cellule à nous, soit deux cent fois la durée de vie d’une supergéante.

Une autre chose : si jamais une civilisation arrive à un stade où elle peut modifier les étoiles (civilisation de type 2 ou 3), alors elle a tout intérêt à, premièrement se trouver une petite étoile naine rouge pour la stabilité, ou 2) réduire la taille de leur étoile pour lui conférer une durée de vie plus longue (opération de « starlifting » dans le domaine de l’ingénierie stellaire).

Voir aussi :

L’échelle de Kardashev, quel type de civilisation sommes-nous ?
Les étoiles de fer et la fin des étoiles
Quelques mégastructures artificielles pour coloniser la Galaxie

BREAKING: Complex Organic Molecules Discovered on Enceladus For The First Time - Different Impulse

Des molécules organiques complexes découvertes sur Encelade, une des lunes de Saturne. Des précurseurs de la vie, en d’autres termes.

Il faudrait peut-être encore un milliard d’années pour voir apparaître des êtres vivants unicellulaires, mais c’est un début.

De deux choses l’une : 1) explorer tout ça va nous permettre de savoir d’où nous on vient (après tout, il y a 1 milliard d’années, notre terre n’avait que des « molécules organiques complexes » comme seule « vie »), mais aussi 2) confirmer que nous ne sommes pas seuls. Avoir deux foyers de vie dans le même système solaire, alors qu’il y a environ 10^18 systèmes solaires dans l’Univers visible…

… je sens que les adeptes des croyances stupides (« nous sommes uniques », etc.) vont être très, très déçus.

Should You Eat Every Day? - YouTube

Je ne sais pas si je suis le seul, mais j’ai aussi remarqué depuis longtemps que je suis largement plus performant pour le travail intellectuel (code, calcul, etc.) quand je n’ai pas mangé depuis un moment. Après avoir mangé, je suis largement plus engourdi.

image - 460x514px

Pourquoi on dit « tic tac » et pas « tac tic », et dans quelle ordre placer les différents adjectifs qualifications (ici, en anglais).

C’est beau.

La règle du I-A-O semble effectivement naturelle, même innée, mais j’aimerais savoir d’où ça vient.

Quelle avantage a fait que cette règle soit restée et que ceux qui parlaient dans le désordre n’aient pas pu faire perdurer leur façon de parler ?

Si ça semble lié à notre façon de préférer les sons plus stridents « i » avant les sons graves « o », quel partie du cerveau est responsable de ça ? Quel avantage évolutif se trouve derrière ? En quoi la préférence de l’ordre I-O plutôt que O-I nous a aidé pour survivre (car le but final et naturel de la vie, c’est de survivre) ?

Tant de questions…

L’alcool fait-il grossir ? - Lokoyote

En gros, pendant que le foie est occupé à éliminer en premier l’alcool, le reste des lipides et glucides sont stockés au lieu d’être métabolisés.

Intéressant ces posts !

Et très bon blog : http://lokoyote.eu/

Experiences you have in life will leave a marker in your DNA...

Pas de source, mais ça pourrait expliquer ce genre de choses : http://lehollandaisvolant.net/?id=20150922170245
Ça semble plausible en tout cas.

Quelle est la puissance de notre cerveau ? - Couleur-Science

POUR ou contre la vaccination - Message aux médiasLe Pharmachien

« bienvenu dans l’ère de “tout le monde est un expert” »

C’est un peu ça : en ce moment, tout le monde parle de la vaccination et tout le monde a son avis dessus. En revanche, quelle proportion sait comment fonctionne véritablement un vaccin ?

Déjà, il me semble qu’on voit ça au lycée et en S, donc je dirais qu’au moins la moitié de la population sortant des études ne savent pas comment ça marche.

Oh, ça ne leur empêche pas d’avoir un avis, bien au contraire, mais ça les discrédite d’emblée quand ils disent à quelqu’un qui a fait 7 années d’études de médecine ou de biologie « tg, lé vaksin C nul ! ».

On est d’accord que les médecins et les industriels qui fabriquent les vaccins ont tout intérêt à dire que « les vaccins sont cool ! » (écrit en hiéroglyphes quand c’est un docteur qui écrit, évidement).

Mais le fonctionnement d’un vaccin lui-même reste identique, qu’on soit pour ou contre : il s’agit d’un entraînement (sans danger) qu’on impose au système immunitaire, pour l’apprendre à se battre contre tel ou tel virus afin qu’il soit prêt le jour où le vrai virus (dangereux) sera là.
Dans l’immense majorité des cas, ces entraînements sont efficaces.
Le seul problème c’est que cet entraînement demande beaucoup d’énergie à l’organisme (qui se voit attaqué, alors qu’en réalité l’attaque — bien que réelle — est sans danger). Je pense que c’est ça qui fait peur aux gens : ils pensent que le vaccin les affaiblit pour rien (alors qu’en vrai il les affaiblit, mais pas pour rien).

En gros, c’est l’inconnu qui fait peur. Mais ça, fallait pas sécher les cours au collège et au lycée…

Un test de détection du cancer du pancréas créé par un adolescent

Ce genre de truc n’intéressent pas les industriels de la santé : pas rentable, pas produit par un « grand chercheur prix Nobel à l’égo sur-dimentionné ».

Sans compter que ça ne soignera pas le cancer lui même. Soigner un patient n’est pas le but, le but c’est de le garder en vie malade le plus longtemps possible pour qu’il paye des médicaments le plus longtemps possible (jusqu’à sa mort retardée au maximum).

La santé est une industrie et les malades sont leurs clients : elle doit faire du bénéfice, et doit donc fidéliser ses clients, tout comme celle de la bouffe, celle du tabac, ou celle des armes. La santé est aussi mauvaise pour l’industrie de la santé que la paix l’est pour l’industrie des armes, ou les économies de courant pour l’industrie de l’énergie.

Se souvient-on d’EDF (ou un autre, je sais plus) qui réclamaient un manque à gagner aux fabricants de lampes économiques ? C’est pareil pour la pharmaceutique : autant les chercheurs peuvent fabriquer les molécules qui soignent *vraiment* (on n’en serait pas là aujourd’hui sinon), autant l’industrie derrière nous gave de merdes pour nous tuer le plus lentement possible (un peu comme Einstein qui n’a jamais voulu faire de son invention nucléaire la plus grande menace sanitaire du siècle).

Les poisons (3) : le cyanure et le plus gros suicide collectif | Un article d'Omnilogie.fr

Le mode d’action des poisons est parfois étonnant. Parfois biologique, toujours chimiques.

Ici, le cyanure (petite molécule ionique « CN⁻ ») se fixe que le fer dans les hémoglobines et surtout vole le dioxygène aux cellules. En quelques secondes, l’organisme est privé d’oxygène et meurt.

Édit : Matronix (http://matronix.fr/ ) me corrige :

« C'est pas tout à fait exact (voire même complétement faux) : le cyanure bloque le complexe IV de la chaine respiratoire des mitochondries. Plus de complexe IV = électrons qui ne peuvent pas arriver sur l'accepteur final (oxygène) = plus de consommation d'oxygène.
Donc en gros tu respires, mais ça revient à respirer un gaz sans O2. Tu meurs étouffé.

Rien à voir avec l'hémoglobine, juste qu'il n'a plus d'O2 mais le cyanure n'agit pas sur l'hémoglobine.

Le cyanure est connu, mais y'a plein de plus ou moins équivalent :
- 2-4 dinitrophénol ou du CCCP (carbonyl cyanide m-chloro-phenyl hydrazone) -> agent découplant, augmente la consommation d'o2 mais ne permet plus la synthèse d'ATP
- l'antimycine A qui bloque le complexe III
- barbituriques ou roténone : inhibe le complexe I
- oligomycine : inhibiteur de la phosphorylation : plus de synthèse d'ATP

Schéma chaine respiratoire de wikipédia (fausse mais donne une bonne idée) : https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Cha%C3%AEne_de_transport_des_%C3%A9lectrons_mitochondriale.svg
»

Prié de retirer son article sur un maïs OGM, Séralini refuse. - Sciences et Avenir

GG.

Si les industriels des OGM n’ont rien à cacher, ils n’ont rien à craindre d’une étude scientifique, pas vrai ?

Bientôt un effet #streisand ?

Le brocoli, arme inattendue contre la radioactivité | Passeur de sciences

Cool !
Le brocoli passe encore, mais le chou de Bruxelles dnw >_<.

Et ce n’est pas juste contre la radioactivité (qui est juste mis là pour la pour faire le buzz), mais toutes les destructions d’ADN et les sources de cancer, y compris l’oxygène qu’on respire et l’ozone.

Sinon y’a aussi le thé, qui contient plein antioxydants, dont le fonctionnement est similaire : l’oxygène, par exemple, est trop réactif pour le corps (bien qu’essentielle) et peut former des radicaux-libres.
Ces radicaux ("ions-forcés" très instables et très oxydants) arrachent des électrons à la première molécule venue, qui peut être l’ADN, une protéine, une graisse et provoquer des cancers ou autres dysfonctionnements.
Les antioxydants peuvent neutraliser les radicaux libres avant qu’ils cassent tout dans les cellules.

Le thé vert en contient beaucoup. Le café et le chocolat aussi (un peu moins).
Les fruits rouges (de préférences sauvages, bien-sûr, comme les Cranberry les mûres…) aussi, certains légumes, ainsi que le sirop d’érable sont aussi très riches en antioxydants


(lien via http://ithake.eu/shaarli/?409KlA )

Alerte aux médicaments dangereux !

Mouais… Alors imaginez ceux qui les avalent, ces médicaments.
J’ai autant confiance en l’industrie pharmaceutique que dans ceux de l’énergie, du logiciel et les banques (autrement dit toutes les industries qui carburent à fond à cause des lobbys) : aucune confiance.