#22538 - Comment fidéliser les talents | LinkedIn
https://www.linkedin.com/news/story/comment-fidéliser-les-talents-6714513/Face aux nombreux défis à relever, attirer et fidéliser les talents est devenu un enjeu stratégique. Pas d’agilité, pas d’innovation, pas de performance sans engagement des collaborateurs ! Or, pour s’engager, les collaborateurs et les équipes ont besoin de sentir qu’ils sont écoutés, qu’ils ont la main, qu’ils font une différence.
Comme le disait Steve Jobs : « Cela n'a aucun sens d'embaucher des gens intelligents et de leur dire quoi faire ; nous embauchons des gens intelligents pour qu'ils puissent nous dire quoi faire ! »
Voici trois traits culturels particulièrement recherchés par les talents, tirés de mes observations des entreprises qui n’ont aucune difficulté à attirer les meilleurs :
1. Culture de responsabilisation et de confiance
[…]
2. Culture du dialogue et de la collaboration :
[…]
3. Culture de la reconnaissance et du progrès continu :
[…]
Toujours pas de culture de je-paye-les-gens-tellement-bien-pour-qu’ils-ne-pensent-même-pas-à-chercher-ailleurs ?
Faut arrêter de voir le boulot comme une famille : ce n’est pas une famille. Les baby-foot et les soirées pizza au bureau, corrigez-moi si je me trompe, mais je ne dois pas être le seul qui s’en branle complètement.
Et on peut très bien aimer et être intéressé dans ce qu’on fait, le faire sérieusement, vouloir s’investir dans son travail, etc., sans pour autant sortir avec les collègues ou rester dormir sur place.
Bref, même avec ça, mon travail, c’est essentiellement pour finir avec un salaire à la fin.
Et à deux postes égaux par ailleurs, mais l’un avec un salaire plus élevé, le choix est vite vu.
Et oui : tout s’achète. Les employés y compris. C’est le principe de la négociation d’un salaire. La fidélité dont il est question dans le lien tient par cela.
Et même si j’adore les pizza, je ne m’attends pas à ce que le patron m’achète avec ça.
(PS : et on n’est pas des « talents », on est des personnes).