Le Hollandais Volant

Une des limites de réduire le nombre de pièces (façon Tesla) c’est que si y a un pète, la pièce à changer est plus grande et plus chère.
Avoir plein de pièces, c’est aussi pouvoir changer juste la pièce qu’il faut.

Alors si les pièces vont finir par être soudées, ok, l’unibody a des avantages, mais si ce sont des éléments servant de martyrs, alors il est plus avantageux d’en avoir plein de petites.
Et ce principe vaut pour les bagnoles, mais aussi les avions (mon job). Un bel exemple était la navette spatiale, qui était tuilée de composants sacrificiels contre la chaleur. Ça vaut aussi pour les PC et téléphones à composants changeables (donc non soudées entre eux).

Bref, c’est un équilibre entre les coûts de production (avantageux pour le fabriquant) et les coûts de maintenance (un problème pour le client).

C’est pas nouveau, mais c’est un bon rappel.