La NASA teste avec succès son réacteur nucléaire « portable » Kilopower - Next INpact
Miam ! Science !
Une source d’uranium 235 couplé à un moteur de Stirling puis à une génératrice pour faire 10 kW d’électricité :D
Cela dit, ça existait déjà depuis longtemps, sauf que c’était à base de plutonium et des thermocouples (les GTR, ou générateur à thermoélectrique à radio-isotopes). La sonde Cassini en avait, et plus proche de nous… certains vieux pace-maker également.
Mais les systèmes exploitant la décroissance radioactive, ça existe depuis 100 ans : le radium, dont la particule bêta émise existe un composé fluorescent qui se met à luire, était utilisé dans les peintures sur les aiguilles des vieilles montres (aujourd’hui, le radium n’est plus utilisé : on préfère (heureusement) utiliser des peintures phosphorescentes qui se rechargent avec la lumière du jour.
Certains signes « issue de secours », qui devaient luire même en cas de panne de courant et nécessiter une maintenance minimale, fonctionnent également avec des sources radioactives : des tubes fluorescent au tritium gazeux (GTLS : gazeous tritium light source).
Les (anciens) détecteurs de fumée aussi utilisait une source radioactive.
— Comment fonctionnent les tubes luminescents au tritium ?
— À quoi ressemble du plutonium ? (avec un mot sur les les GTR)
— Comment fonctionne un détecteur de fumée ?