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Je trouve toujours aussi incroyable le jeu d’assistance gravitationnelle que l’on donne aux sondes spatiales.
Il s’agit en fait de faire s’approcher une sonde d’un astre pour l’accélérer et lui donner de la vitesse sans apport de carburant (de la même façon qu’une comète accélère et repart de plus belle après le passage près du Soleil).
Ce que je trouve incroyable, c’est le trajet de la sonde : ici, en l’espace de plusieurs années, la sonde reçoit ainsi une assistance gravitationnelle de la Terre, de Mars, puis de la Terre et encore une fois de la Terre ! Sachant qu’entre temps, tout ce beau monde s’est déplacé, y compris la comète où la sonde doit aller se poser.
Vous imaginez les calculs qu’ils doivent entreprendre pour y arriver ? Entre les choix de la date de lancement, la détermination des dates où la sonde doit se trouver dans le champ gravitationnel d’un astre pour en subit l’accélération, etc. C’est fascinant.
Dans le même genre, le voyage de la sonde Voyager 2 est encore plus incroyable : la sonde a subie les accélérations successives de Jupiter, Saturne, Uranus et enfin Neptune… Tu m’étonnes qu’avec tout ça elle ait parcourue 17 milliards de kilomètres en seulement 37 ans…
Il s’agit en fait de faire s’approcher une sonde d’un astre pour l’accélérer et lui donner de la vitesse sans apport de carburant (de la même façon qu’une comète accélère et repart de plus belle après le passage près du Soleil).
Ce que je trouve incroyable, c’est le trajet de la sonde : ici, en l’espace de plusieurs années, la sonde reçoit ainsi une assistance gravitationnelle de la Terre, de Mars, puis de la Terre et encore une fois de la Terre ! Sachant qu’entre temps, tout ce beau monde s’est déplacé, y compris la comète où la sonde doit aller se poser.
Vous imaginez les calculs qu’ils doivent entreprendre pour y arriver ? Entre les choix de la date de lancement, la détermination des dates où la sonde doit se trouver dans le champ gravitationnel d’un astre pour en subit l’accélération, etc. C’est fascinant.
Dans le même genre, le voyage de la sonde Voyager 2 est encore plus incroyable : la sonde a subie les accélérations successives de Jupiter, Saturne, Uranus et enfin Neptune… Tu m’étonnes qu’avec tout ça elle ait parcourue 17 milliards de kilomètres en seulement 37 ans…