Copyreich : on peut toujours faire plus ridicule…

Telle est la question qui a secoué la Haute Cour régionale de Francfort qui considère que c’est la personne qui écrit physiquement le texte qui est l’auteur légal.
Concernant la paternité du texte on s’en fiche un peu, mais je trouve quand même délirant que certains se prennent la tête pour ce genre de trucs : la New Christian Endeavour Academy (en Allemagne) avaient en effet considéré que le texte était libre de droits car écrit par Jésus (et donc dans le domaine public) alors que la Foundation for Inner Peace (aux USA) qui est détentrice des droits du livre l’a attaqué en justice…
Bon.
Et si Jésus ressuscite il reprend ses droits d’auteurs ou pas, alors ?
Vous avez deux heures.