Le Hollandais VolantBlogueur me
Suite à certains commentaires concernant les billets sponsorisés et le droit de commenter (!) sur mon précédent billet, je voudrais revenir un peu dessus (et aussi tenter de mettre le débat ici plutôt que sur le billet d'autoblog).
La publicité, tout le monde y voit quelque chose de mauvais, surtout sur internet et les blogs. C'est vrai que certains sites en abusent, mais dans le fond ? Pour beaucoup, la pub est l'unique source de revenu pour un site. Parce que oui, un site a un coût.
Pour ma part, c'est environ 5€ par mois pour l'hébergement. D'autres sites sont largement plus grands et le coût dépasse 500€ par an.
C'est alors non négligeable, surtout quand on est un webmaster seul.
Publicité, billets payés, demandes de dons, etc. sont des moyens pour rentabiliser quelque chose qui coûte de l'argent, du travail et du temps.
Qu'y a t il de mal là dedans ? Sans ces solutions, le site est contraint de devenir payant.
Si certains blogs font des billets payés pour permettre d'exister, je les accepte. Surtout si les blogueurs indiquent que le billet est payé.
Il y a un sacré travail derrière un site, même si ça n'en a pas toujours l'air, et si nous, lecteurs, ne pouvons pas accepter un billet sponsorisé occasionnellement, alors nous ne méritons pas que ce site soit mis à disposition gratuitement, et nous ferions mieux de ne pas lire le site (mais rassurez vous, sur ce site il n'est pas prévu que j'en fasse).
Un autre point que je veux aborder, c'est la promotion des produits, jeux, sites qu'on aime…
Quand on dénonce les pratiques de Google, Facebook ou autres Apple, c'est bien et c'est un bon billet, mais dés qu'on a le malheur d'aimer un jeu ou une voiture, c'est tout de suite des accusations de billets payés !
N'a-t-on plus le droit d'aimer quelque chose ? Doit-on toujours détester et gueuler contre tout ?
Ne parlez-vous jamais de votre nouvelle voiture, de votre groupe de musique ou de votre tout dernier jeu vidéo avec vos amis ? Pourtant, y'a pas d'argent derrière (en tout cas, pas quand je le fais moi).