« Chaque homme a sa place parmi les autres, quelque soient ses différences et ses origines. »

Je pense que c'est un des messages que ce court métrage de 20 minutes a voulu transmettre. En tout cas, je dis : magique.

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Si vos oreilles vous font souffrir et que vous voulez les punir, voici le remède : www.youtube.com/watch?v=TLjwKnjeR_4
Attention, si vous trouvez qu'à la Star'Ac ils chantaient mal, vous n'avez encore rien vu.

Mais alors rien du tout.

Si vous aviez l'habitude d'utiliser Microsoft Word et son éditeur d'équations, mais que depuis récemment vous utilisez OpenOffice.org, l'éditeur d'équation peut paraître assez déroutant.
Voici quelques explications.

Tout d'abord, sous Word, l'éditeur d'équations est assez bien fait et pratique à utiliser. Il suffit de cliquer et de remplir les cases avec ce que l'on souhaite. L'éditeur de OpenOffice n'est pas pareil : la petite fenêtre permet de choisir les éléments à afficher : barre de fraction, symbole d'une somme, etc. mais le remplissage ne se fait plus à la souris dans des cases, mais avec des lignes de texte, des textes à trou.

Par exemple, pour afficher une barre de fraction, avec “x” en haut et “y” en bas, on tape x over y dans l'éditeur : (j'ai oublié de dire que l'on insère une équation via insertion > objet > équation)

Généralités

  • Chaque opérateur ou élément possède un nom. Ainsi, la barre de fraction est invoqué avec over, comme ci-dessus. Un autre exemple, pour le symbole "somme" on utilise sum. Chaque nom d'élément est séparé d'un espace. Ainsi, on mettra x over y et non xovery : fraction.
  • Sachez que les parenthèses s'affichent. Ainsi, si vous tapez (a + b) over (c + d) les parenthèses seront là même si, mathématiquement, elles sont inutiles.

    Pour grouper des éléments sans que les parenthèses ne s'affichent, on utilise les accolades.
    Les accolades sont les symboles de groupement neutres, qui ne s'affichent pas Pour notre exemple avec la barre de fraction, on utilisera donc : {a + b} over {c + d}.

    C'est valable pour les fractions, mais aussi pour toutes les autres propriétés. Les accolades sont des caractères qui ne s'afficheront pas, ils sont juste là pour regrouper les éléments.

Puissances, indices

Normalement, on utilise la notation sup pour la puissance et sub pour l'indice. Pour simplifier, l'éditeur d'équation n'a gardé que la notation suivante : les puissances se notent avec le classique symbole du circonflexe : « ^ ». A puissance B se tape donc avec A^B. De la même façon, l'indice se tape avec l'underscore « _ ».

On peut bien évidement aussi placer des éléments à gauche en haut et en bas. On retrouve alors le « sup » pour « en haut » et « sub » pour en « bas ». Pour désigner « à gauche », placera un « l » et on utilisera un « c » pour centrer. Voici un petit tableau récapitulatif :

equation editor OOo a^b
equation editor OOo c_d
equation editor OOo e^f_g
equation editor OOo h lsup i
equation editor OOo j lsub k
equation editor OOo l csub m
equation editor OOo X^a_b csub c lsub d lsup e csup i

Somme, Produit et Intégrale

C'est très simple, on tape juste : sum x_i ou prod x_i ou int x. On aura respectivement : fraction, fraction et fraction.

Mais, il manque des bornes ! Pas de panique, les bornes de l'intégrale s'ajoutent simplement avec csup et csub vu précédemment.
Pour avoir fraction on utilisera donc int csup 1 csub 0 x.

Sachez que vous pouvez aussi mettre des choses autres que le 0 et 1 d'ici, on peut mettre des fractions, des fonctions etc. Il suffit d'utiliser les accolades. Par exemple, le code sum csup {i_n} csub {i_0} e^{{4x - 5} over {5x^2}} donnera somme compliqué

Parent(et enfants)thèses, accolades, et crochets

Pour afficher des parenthèses simples, il suffit de les taper au clavier, de même pour les crochets. Pour les accolades, qui ne s'affichent pas, on utilise le code lbrace et rbrace (ouverture et fermeture respectivement).

Si vous voulez entourer une fraction ou autre élément plus haut qu'une simple ligne, on utilise les parenthèses (ou accolades, crochets, etc.) étirables. On les utilise simplement avec left devant le caractère d'ouverture et right pour la fermeture.

Par exemple, j'ai une fraction a over b que je veux entourer de parenthèses. Le code ( a over b ) donnera les petites parenthèses petit parenthèses, mais le code left ( a over b right ) donnera les grandes grand parentheses.

Vous pouvez très bien imbriquer plusieurs niveaux de chaque types, il suffit de bien refermer chaque élément dans l'ordre inverse que l'on les a ouverts. En gros, on fera ([{}]) et non ([{)]}.

Flèches, points, chapeau…

Tout le monde sait qu'un vecteur se représente avec une flèche, et un angle avec un petit chapeau. Ici aussi, il y'a les "flèches" courtes et les "flèches" longues. Tout dépend si l'élément à recouvrir est long ou pas.

Pour les vecteurs, on utilise vec x ; pour le chapeau d'un angle c'est hat x ; un point, c'est dot x ; deux points, c'est ddot x. Voici le vecteur : vector que l'on affiche avec vec x.

Pour le même élément mais en allongé, on place wide devant. Par exemple, on mettra widevec abc widevec plutôt que vec abc : petit vec.

Caractères spéciaux

On peut afficher des caractères spéciaux, principalement les lettres Grecques, telle que Pi ou Tho. C'est très simple, pour Pi : %pi (avec un espace après "pi") ou pour Alpha : %alpha. Pour les lettres majuscules, on fait %PI, ou %ALPHA.

Simplissime non ? Il suffit juste de les connaître tous par cœur.

Conclusion

Bon voilà !
Je pense avoir fait le tour des principales fonctions, et leurs commande à utiliser pour les afficher.
Ces petites explications sont loin d'être exhaustives, mais vous avez tout pour commencer.
Enfin, voici une petite formule totalement bidon juste comme ça : formule bidon


open suse

Je veux bien que la loi mérite d'être expliqué et qu'il doit y avoir des règles pour toutes les situations de la vie, mais parfois, n'y a t'il pas exagération, même un tout petit peu ? J'avais envie hier de voir un peu la distribution Linux Open SuSE, sous le magnifique bureau KDE.

Lors de l'installation dans ma machine virtuelle, je me trouve devant un CLUF (chose qui ne m'était pas arrivé depuis bien longtemps pour un OS :-). C'est juste la licence GNU avec quelques petits ajouts, dont ça :

[…] vous n'utiliserez pas ni ne transférerez openSUSE 11.2 pour des utilisations finales dans une technologie de missiles, d'armes nucléaires, chimiques ou biologiques sauf autorisation par l'administration américaine dans le cadre d'une réglementation ou d'une licence spécifique ; […]

Wow. Au moins, messieurs les terroristes, vous voilà prévenus !
Même si je trouve ça bien marrant de tomber sur un texte pareil, c'est aussi un peu malheureux que Novell (sponsor d'Open SUSE) doit en arriver là et publier ça dans le CLUF…

Sinon, à l'instant, j'ouvre le logiciel Transmission, mon logiciel Bittorent, et il m'affiche ça :
avertissement de transmission Joli non ? C'est le pacte avec Hadopi ? Mais là, c'était quand j'ouvrais le logiciel pour télécharger l'iso de Ubuntu 9.10, la version qui ne fonctionnait pas sur mon ordi à sa sortie en Octobre et que je voulais ré-éssayer ! :P